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Les leçons inattendues tirées de L'Institut 101

14 mai 2025
Les leçons inattendues tirées de L'Institut 101

Réflexions sur la collaboration, la confiance et le pouvoir du partage des perspectives.

Du 1er au 3 mai, j'ai eu l'occasion de participer, avec 25 collègues plus juniors des marques d'AVENIR GLOBAL, à L'Institut 101, qui se tenait à Montréal. À mon arrivée, je m'attendais à en apprendre davantage sur nos marques, à rencontrer de nouveaux collègues et à entendre des dirigeants. Ce à quoi je ne m'attendais pas, c'est à quel point j'apprendrais à connaître les personnes derrière les titres et comment cela modifierait la façon dont je me vois au sein du réseau.

L'énergie qui régnait dans la salle ce premier jour était un mélange d'anticipation silencieuse et de curiosité partagée. Beaucoup d'entre nous se rencontraient en personne pour la première fois, et bien qu'il y ait eu de la nervosité, il y avait aussi un sentiment d'ouverture. Tout le monde semblait sincèrement enthousiaste à l'idée d'apprendre les uns des autres. Avant le début du séminaire, nous avons été regroupés par marque afin de préparer des présentations pour nos équipes. C'était un excellent moyen de briser la glace et de se familiariser, mais la véritable connexion s'est établie une fois que nous nous sommes retrouvés tous ensemble, à partager des histoires, à poser des questions et à découvrir tout ce que nous avions en commun malgré le fait que nous venions de bureaux, de pays et de fonctions différents.

Les sessions ont été très instructives, mais ce qui a le plus marqué, c'est le ton. Des dirigeants comme Jean-Pierre Vasseur, Alec Beckett, Elisabeth Mozel-Jury, Heath Rudduck et Matt Kucharski ne se sont pas contentés de nous parler, ils ont parlé avec nous. Dans ces moments-là, les couches habituelles de la hiérarchie semblaient s'adoucir. Nous n'étions pas des employés subalternes écoutant des dirigeants. Nous étions des personnes en conversation, échangeant des idées et des expériences. Ce changement de dynamique a fait place à quelque chose de puissant : l'autonomisation.

En partageant nos idées et en posant des questions, nous avons commencé à voir plus clairement notre valeur, non seulement dans ce que nous faisons, mais aussi dans notre façon de penser. Une phrase qui est revenue souvent et qui nous a tous marqués est la suivante : « La plus grande défense contre la peur, c'est la curiosité ». Ce message a résonné tout au long du programme et a suscité une réflexion profonde. Plus nous nous sentions vus et entendus, plus nous étions curieux au sujet de la Firme, des autres et de ce que nous pouvions apporter, à la fois individuellement et collectivement.

En dehors des sessions, les conversations se sont poursuivies autour de repas, lors de promenades dans Montréal et du cocktail familièrement appelé Chez Andrew, où nous avons été accueillis avec enthousiasme et générosité. Nous avons eu la chance de rencontrer de nouveaux visages de l'ensemble du réseau et d'engager des conversations qui allaient au-delà de notre travail quotidien. Ces moments nous ont aidés à comprendre nos collègues et nos leaders non seulement en tant que professionnels, mais aussi en tant que personnes. Ce faisant, je pense que nous avons trouvé un sentiment d'appartenance plus profond.

Le dernier jour, alors que nous réfléchissions à ce que nous avions appris, quelques thèmes ont émergé : les leaders sont plus facilement joignables que nous ne le pensons, nos perspectives en tant que collègues plus juniors ne sont pas seulement valables, mais précieuses et la connexion – une connexion humaine réelle – est ce qui alimente la collaboration et la croissance, en particulier dans un secteur qui dépend tellement de la puissance de nos gens.

À partir de la gauche : Cassandra Belliveau, gestionnaire de projets chez Time & Space Media, Aranza Coutiño, coordonnatrice, NATIONAL Halifax, Isabella DeChellis, coordonnatrice, NATIONAL Toronto, et Alexe Constantineau, chargée de projets, NATIONAL Montréal.